ISBN: 978-2-923656-53-3

Parution: 2014

271 pages

La rencontre avec l’autre n’est jamais anodine ; elle demande, comme le souligne à juste titre Albert Jacquard, un effort certain surtout dans un monde caractérisé par des acteurs pluriels et par des diversités croissantes, complexes et en perpétuel mouvement.

Les contributions rassemblées dans cet ouvrage, fruits de plusieurs rencontres internationales, tentent d’apporter, en référence à des registres théoriques, épistémologiques et méthodologiques différents mais complémentaires, un éclairage sur divers problèmes et questions que soulèvent les contacts socioculturels, considérés dans leurs interactions, variations et tensions et situés dans différents secteurs de l’activité humaine (scolaire social, sanitaire, etc.). Dans cette optique, plusieurs modes de gestion de la diversité sont soumis au regard critique des auteurs en vue de questionner et de susciter des réflexions sur les paradigmes qui les sous-tendent.

Cet ouvrage invite, en filigrane des contributions, à (re)penser les bases d’un rapprochement entre l’interculturel critique et la question de la reconnaissance que certains spécialistes de l’interculturel, non idéalisé, ont déjà amorcé.

Ont contribué à cet ouvrage :

(Université de la Réunion), Claudio Bolzman (Haute école de travail social, Haute école spécialisée de Suisse occidentale), Claude Carpentier (Université Paris 7 Diderot), Ruth Lucy Catalán Coque (Faculté de psychologie et sciences de l’éducation, Université catholique de Louvain,), Marguerite Cognet (UFR Sciences sociales, Université Paris 7 Diderot), Sylvie Fortin (Département d’anthropologie, Faculté des arts et sciences, Université de Montréal), Alessandra Froelich (Département d’éducation primaire et préscolaire, Faculté d’éducation, Université de Sherbrooke), Jonathan Kuntz (Faculté de droit, Université de Sherbrooke/Université de Montpellier I), (École de travail social, Faculté des lettres et sciences humaines, Université de Sherbrooke), r (Chaire de recherche du Canada sur l’intervention éducative, Faculté d’éducation, Université de Sherbrooke), Silvia Lucchini (Faculté de philosophie, arts et lettres, Université catholique de Louvain), Geneviève Pinard-Prévost (Centre de langues, Faculté des lettres et sciences humaines, Université de Sherbrooke), Francine Nyambek Kanga-Mebenga (Département des sciences de l’éducation, Université de Lille 3 Charles-de-Gaulle), Lucía Elena Rodríguez Mc Keon (Teoría Pedagógica y Formación de Profesionales de la Educación. Universidad Pedagógica Nacional), Bilkis Vissandjée (Faculté des sciences infirmières, Université de Montréal), Albin Wagener (Faculté des Humanités, Université catholique de l’Ouest à Angers).