Mon comportement, mon attitude, mes idées furent affectés par les endorphines qui émanaient de la pratique régulière de la course à pied, mais aussi par mes visites à Auschwitz et sur les plages de la Normandie pour mon 105^e marathon.

J’ai réuni mes meilleures réflexions. Je vous raconte les traumatismes de ces deux périples.

Je n’anticipais pas la fin, je croyais à un bonheur éternel.

La vie m’a indiqué qu’il était temps d’arrêter les marathons.

La récidive de mon cancer est venue détruire graduellement ma vivacité, mon ardeur, mes projets.

Je dois composer avec cette réalité.

Quand tout s’arrête subitement…