De retour dans le patelin de sa jeunesse, Gazette est toujours en quête d'harmonie. Malgré ses interventions de corbeau, il ne parvient pas à atteindre la tranquillité d'esprit tant que la disparition de son ami n’est
pas résolue.

«L’envergure», le second volet du roman Le garçon de plume, met en scène Gazette qui, tout en s'acquittant de ses nouvelles obligations parentales, tente de déchiffrer l'énigme qui a bouleversé son existence.
À nouveau impliqué dans des aventures étonnantes, il se déploie à sa pleine mesure pour relever les grands défis qui l’attendent. Mais, puisque son existence semble dépendre d’une conjoncture céleste, ses planètes s’alignent enfin pour dénouer les impasses qui l’entourent. Néanmoins, cela ne se fait pas sans le confronter à des événements inattendus jusqu’au dernier moment…

Dans ce roman, j’ai placé Gazette dans des contextes encore plus singuliers que dans «L’Envolée», le tome précédent. Au risque de paraître sadique, j’ai soumis à son esprit juvénile des défis titanesques pour 
observer sa transition vers l’âge adulte. En dépit des préjugés qui auraient pu freiner sa progression, je l’ai encouragé à emprunter ses propres voies d’évolution pour atteindre sa pleine envergure. Gazette,
que j’ai initialement modelé de mes mains, a donc pris son propre envol, comme s’il était désormais capable de se définir sans l’intervention de ma plume.