Le métis O’Bomsawin est directeur des travaux publics à L’Avenir, tout en étant chef de police par intérim, puisque le tenant du titre s’est suicidé à ce qu’on prétend. Souffrant d’un trouble du langage, presque illettré, il entend finir sa carrière sans faire de vagues.

Lorsqu’il doit enquêter sur le meurtre d’une femme âgée et affamée, retrouvée presque nue dans un conteneur à ordures, O’Bom demande l’aide d’une adjointe au passé inquiétant. Deux autres disparitions surviendront coup sur coup.

Pourquoi écrire « Des âmes en panne » et non « Des âmes en peine »? O’Bom ne va pas l’avoir facile.